Vivez une délicieuse échappée à Aix-en-Provence

Situé à quelques pieds de vigne du centre, le Château de la Gaude est niché dans un écrin de verdure. Cette bastide du 17ème siècle est un lieu de gastronomie, d’art, de vin et de vie. Après plus de deux ans de travaux, ce magnifique château vient d’ouvrir ses portes avec 17 chambres et suites design

Situé à quelques pieds de vigne du centre, le Château de la Gaude est niché dans un écrin de verdure. Cette bastide du 17ème siècle est un lieu de gastronomie, d’art, de vin et de vie. Après plus de deux ans de travaux, ce magnifique château vient d’ouvrir ses portes avec 17 chambres et suites design. Les jardins à la française qui entourent les lieux plantent le décor… Le domaine qui s’érige sur 25 hectares de terrain dont 17 de vignes recèle de richesses. Classé AOP « coteaux d’Aix en Provence », toutes les parcelles sont en culture biologique pour ainsi respecter au mieux la nature et préserver la qualité d’une production confidentielle. Un tel lieu ne pouvait se passer d’une belle signature de chef. C’est celle de Matthieu Dupuis Baumal qui signe ici une cuisine résolument française. Son terroir, indéniablement provençal, et ses influences internationales qu’il rapporte de ses différentes expériences et voyages autour du monde, viennent généreusement se mêler. S’ajoute le talent pour former, à la perfection, des créations audacieuses, où tout a été réfléchi et pensé, jusqu’à l’art de la table en passant par le son et les jeux de lumière. Avec sa créativité débridée, le chef propose une expérience gastronomique accomplie ! Et quoi de plus normal lorsque l’on connaît toute la générosité de l’homme, passionné de rugby, qui aime et porte haut les couleurs du collectif, de la brigade et de l’amitié. Une force de la nature qui habille un cœur « gros comme ça ».

Château de la Gaude
3913 route des Pinchinats
13100 Aix-en-Provence
Tel hôtel. 04 84 93 09 30
Tel restaurant. 04 13 91 05 33
www.chateaudelagaude.com

Rouget de petit bateau farci puis laqué à la roquette, jus d’arêtes, par Matthieu Dupuis Baumal © Julien Bouvier