des espaces de transmission
Si l’art dramatique est leur cœur de métier, ils multiplient les passerelles avec d’autres arts,
les rendez-vous immersifs et temps d’échanges avec les publics. Direction les plus grands théâtres azuréens.
Une immersion numérique
Anthéa, Antipolis Théâtre d ’Antibes
Une immersion numérique
Le programme d’Anthéa ce sont 240 spectacles d’arts vivants dans l’année, avec 50 % de théâtre et le reste dédié à la danse, la musique, les marionnettes, l’opéra, le cirque et une ribambelle d’autres disciplines. Dévoilant une quinzaine de créations par an, le théâtre né en 2013 compte parmi ses compagnies associées le Collectif 8, implanté à Nice. Un duo intervenant dans les scénographies du directeur Daniel Benoin, qui mobilise les nouveaux outils technologiques et numériques, et met la création vidéo et musicale au service du théâtre et ses textes. Chaque trimestre, les soirées Immersion dédiées à la scène digitale, pour lesquelles sont rassemblés de nombreux professionnels, commencent par des projections visuelles en façade, se poursuivent dans la salle Vaneck qui se transforme en scène d’expérimentations, avant de monter sur le toit-terrasse au 5e étage où l’esprit de la fête se prolonge en after. Une approche pluridisciplinaire qui invite à repenser le théâtre en tant que lieu, en l’explorant au fil de la soirée.
Théâtre de Grasse
De la danse aux cultures urbaines
Historiquement, le TDG a construit son identité en tant que scène conventionnée pour le cirque et la danse, avec des intervenants emblématiques comme la compagnie Système Castafiore, installée depuis 25 ans à Grasse et connue à l’international pour ses créations multimédias. S’il a contribué à mettre en avant le nouveau cirque, les spectacles de danse néo-classique ou contemporaine, ce théâtre connu pour son aspect accueillant et familial se distingue également aujourd’hui en valorisant les cultures urbaines, avec des représentations sur tout le territoire de la Communauté d’Agglomération du Pays de Grasse. Missionné même par la Ville pour mener des actions en faveur des jeunes, comme des ateliers graff ou DJing, son temps fort est devenu le Grasse Hip-Hop Dance Festival, qui se tient chaque année au printemps avec des performances en live.
Une immersion numérique
Le programme d’Anthéa ce sont 240 spectacles d’arts vivants dans l’année, avec 50 % de théâtre et le reste dédié à la danse, la musique, les marionnettes, l’opéra, le cirque et une ribambelle d’autres disciplines. Dévoilant une quinzaine de créations par an, le théâtre né en 2013 compte parmi ses compagnies associées le Collectif 8, implanté à Nice. Un duo intervenant dans les scénographies du directeur Daniel Benoin, qui mobilise les nouveaux outils technologiques et numériques, et met la création vidéo et musicale au service du théâtre et ses textes. Chaque trimestre, les soirées Immersion dédiées à la scène digitale, pour lesquelles sont rassemblés de nombreux professionnels, commencent par des projections visuelles en façade, se poursuivent dans la salle Vaneck qui se transforme en scène d’expérimentations, avant de monter sur le toit-terrasse au 5e étage où l’esprit de la fête se prolonge en after. Une approche pluridisciplinaire qui invite à repenser le théâtre en tant que lieu, en l’explorant au fil de la soirée.
De la danse aux cultures urbaines
Historiquement, le TDG a construit son identité en tant que scène conventionnée pour le cirque et la danse, avec des intervenants emblématiques comme la compagnie Système Castafiore, installée depuis 25 ans à Grasse et connue à l’international pour ses créations multimédias. S’il a contribué à mettre en avant le nouveau cirque, les spectacles de danse néo-classique ou contemporaine, ce théâtre connu pour son aspect accueillant et familial se distingue également aujourd’hui en valorisant les cultures urbaines, avec des représentations sur tout le territoire de la Communauté d’Agglomération du Pays de Grasse. Missionné même par la Ville pour mener des actions en faveur des jeunes, comme des ateliers graff ou DJing, son temps fort est devenu le Grasse Hip-Hop Dance Festival, qui se tient chaque année au printemps avec des performances en live.