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TAG-Heuer
Tracé marseillais !
La marque en pole position pour son lien avec le sport passe la sixième avec sa première boutique dans la cité phocéenne. Retour sur ce virage pris à toute allure par TAG-Heuer !
Par Bruno Lambert
Cette boutique est le troisième espace méditerranéen après Cannes et Saint Laurent du Var. © Julien Polo
© Julien Polo
A l’angle des deux rues les plus commerçantes de Marseille, rue Grignan et rue Paradis, la clientèle sera ravie d’apprendre que TAG-Heuer entre à son tour dans la course d’avoir son propre magasin. Une adresse prolongement de son développement soutenu de son réseau commercial en France en étroit partenariat avec la maison marseillaise Frojo. Avec comme décor la scénographie de son héritage et lien avec les sports automobiles dont en premier lieu logiquement la F1. Casque Gulf, livres sur le constructeur Porsche, maquette de la mythique Porsche 911 ou encore photo géante de la Formule 1 Red Bull du pilote de génie Max Verstappen rappellent tous ses partenariats réussis avec ces grands noms du sport à quatre roues. Autrement dit, un espace de 30 mètres carrés aux codes bien masculins dirigé d’une main de maître par une responsable de boutique « punchy » qui saura transmettre les valeurs et territoires privilégiés de la marque : l’innovation, la performance à l’image des bolides qui flirtent pour ne pas dire dépassent les 300 km/h sur circuits.
Montres en exclusivité
Sur le plan des garde-temps, et au-delà des montres connectées, nouvelle génération de montres qui font les beaux jours commerciaux de la marque, les fans de cette dernière seront heureux de retrouver les modèles iconiques de la maison comme les plongeuses Aquaracer mais aussi et en exclusivité le modèle TAG-Heuer Carrera Porsche Chronographe Orange Racing, fruit d’une sixième collaboration entre ces deux mastodontes. Sans oublier la légendaire montre Monaco et la rarissime Monaco Dark Lord et son boîtier en titane. Un modèle « Full Black » qui renvoie au modèle d’origine, classique indémodable définitivement entré au panthéon de l’horlogerie lorsqu’un certain Steve McQueen décida de l’arborer à son poignet en 1970 dans le film « Le Mans ». Autre chef-d’œuvre cette fois sur le plan cinématographique…
