Il a initié une véritable rupture avec les images propres, parfaites et immédiatement lisibles de Cartier-Bresson ou de Doisneau. Dans l’univers de William Klein, la réalité est souvent dérangeante,
Il a initié une véritable rupture avec les images propres, parfaites et immédiatement lisibles de Cartier-Bresson ou de Doisneau. Dans l’univers de William Klein, la réalité est souvent dérangeante, parfois violente mais toujours fascinante. Déjà consacré par deux rétrospectives au Centre Pompidou, le photographe américain, qui vit et travaille à Paris, présente ici trois thèmes en particulier. Il dresse un portrait de Moscou en pleine guerre froide, mais aussi de Tokyo en 1964. Nice y déploie les couleurs de son carnaval et de ses batailles de fleurs, dans une série rarement montrée au public.
Jusqu’au 2 octobre
“William Klein : Bises de Nice, Moscou et Tokyo”
Musée Charles-Nègre
1 place Pierre Gautier, Nice
Tél. 04 97 13 42 20
museephotographie.nice.fr