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avec Mécènes du Sud
La Société Marseillaise de Crédit, une des entreprises fondatrices de Mécènes du Sud, fait montre d’une fidélité à toute épreuve avec son engagement indéfectible depuis 2003. Entretien avec Philippe Bellemin-Noël, directeur de la communication, et Bruno Deschamp, Président du Directoire de la Société Marseillaise de Crédit.
Par Maurice Gouiran
Bruno Deschamp, Président du Directoire de la Société Marseillaise de Crédit. / © Géraldine Aresteanu
La rencontre annuelle de MDS au siège historique de la SMC.
Philippe Bellemin-Noël, directeur de la communication de la SMC.
Pourquoi avoir participé à la fondation de Mécènes du Sud (MDS) ?
La SMC fut créée par des industriels et des commerçants marseillais soucieux de promouvoir l’activité économique de leur région. Elle soutient naturellement le développement du territoire, qu’il soit économique, sportif ou culturel. C’est donc en toute logique que nous avons adhéré à l’idée de rendre plus accessible l’art contemporain en permettant à de jeunes artistes de promouvoir des œuvres (avec un lien régional) grâce à ce réseau de chefs d’entreprise assistés d’experts.
Avez-vous un exemple d’action forte engagée avec MDS ?
Il y a d’abord la durée de notre engagement indéfectible depuis 2003. Plus concrètementW, nous avons, en 2016, transformé notre siège historique de la rue Paradis en lieu d’exposition, à la disposition de MDS pour accueillir les artistes retenus afin qu’ils présentent leur projet aux mécènes et invités. Une grande soirée de remise des prix a ensuite réuni les collaborateurs SMC et leurs clients invités à découvrir, pour certains d’entre eux, l’art contemporain.
Outre MDS, quels sont vos rapports au mécénat ?
Ils sont nombreux. Nous soutenons des structures emblématiques de Béziers à Menton. Citons, par exemple, le musée Fabre (Montpellier), l’Hôtel de Caumont (Aix-en-Provence), les concerts à la cathédrale Sainte-Réparate (Nice) ou le Festival international de piano (La Roque-d’Anthéron). Nos actions s’expriment également dans d’autres domaines, tel celui de l’insertion (La Plateforme Marseille ou la Fondation KEDGE Business School).
Avez-vous vocation à fédérer d’autres entreprises dans MDS ?
Vocation ? Pas forcément, mais les rencontres organisées dans le cadre MDS mettent en lumière l’activité du réseau, sa démarche, ses rapports avec les artistes. Elles permettent à nos invités de prendre conscience du monde de l’art contemporain, de son accessibilité et les incitent souvent à nous rejoindre. Notre engagement passe également par l’ouverture de nos agences Agora, lieux de vie et d’échange à des événements culturels et artistes locaux. A Aubagne, nous avons accompagné les festivités organisées l’occasion du 125e anniversaire de la naissance de Marcel Pagnol. Dans l’avenir, notre rapprochement avec Société Générale va nous permettre d’accroître notre présence aux côtés du monde culturel régional.
Philippe Bellemin-Noël, directeur de la communication de la SMC.
Pourquoi avoir participé à la fondation de Mécènes du Sud (MDS) ?
La SMC fut créée par des industriels et des commerçants marseillais soucieux de promouvoir l’activité économique de leur région. Elle soutient naturellement le développement du territoire, qu’il soit économique, sportif ou culturel. C’est donc en toute logique que nous avons adhéré à l’idée de rendre plus accessible l’art contemporain en permettant à de jeunes artistes de promouvoir des œuvres (avec un lien régional) grâce à ce réseau de chefs d’entreprise assistés d’experts.
Avez-vous un exemple d’action forte engagée avec MDS ?
Il y a d’abord la durée de notre engagement indéfectible depuis 2003. Plus concrètementW, nous avons, en 2016, transformé notre siège historique de la rue Paradis en lieu d’exposition, à la disposition de MDS pour accueillir les artistes retenus afin qu’ils présentent leur projet aux mécènes et invités. Une grande soirée de remise des prix a ensuite réuni les collaborateurs SMC et leurs clients invités à découvrir, pour certains d’entre eux, l’art contemporain.
Outre MDS, quels sont vos rapports au mécénat ?
Ils sont nombreux. Nous soutenons des structures emblématiques de Béziers à Menton. Citons, par exemple, le musée Fabre (Montpellier), l’Hôtel de Caumont (Aix-en-Provence), les concerts à la cathédrale Sainte-Réparate (Nice) ou le Festival international de piano (La Roque-d’Anthéron). Nos actions s’expriment également dans d’autres domaines, tel celui de l’insertion (La Plateforme Marseille ou la Fondation KEDGE Business School).
Avez-vous vocation à fédérer d’autres entreprises dans MDS ?
Vocation ? Pas forcément, mais les rencontres organisées dans le cadre MDS mettent en lumière l’activité du réseau, sa démarche, ses rapports avec les artistes. Elles permettent à nos invités de prendre conscience du monde de l’art contemporain, de son accessibilité et les incitent souvent à nous rejoindre. Notre engagement passe également par l’ouverture de nos agences Agora, lieux de vie et d’échange à des événements culturels et artistes locaux. A Aubagne, nous avons accompagné les festivités organisées l’occasion du 125e anniversaire de la naissance de Marcel Pagnol. Dans l’avenir, notre rapprochement avec Société Générale va nous permettre d’accroître notre présence aux côtés du monde culturel régional.
La SMC fut créée par des industriels et des commerçants marseillais soucieux de promouvoir l’activité économique de leur région. Elle soutient naturellement le développement du territoire, qu’il soit économique, sportif ou culturel. C’est donc en toute logique que nous avons adhéré à l’idée de rendre plus accessible l’art contemporain en permettant à de jeunes artistes de promouvoir des œuvres (avec un lien régional) grâce à ce réseau de chefs d’entreprise assistés d’experts.
Avez-vous un exemple d’action forte engagée avec MDS ?
Il y a d’abord la durée de notre engagement indéfectible depuis 2003. Plus concrètementW, nous avons, en 2016, transformé notre siège historique de la rue Paradis en lieu d’exposition, à la disposition de MDS pour accueillir les artistes retenus afin qu’ils présentent leur projet aux mécènes et invités. Une grande soirée de remise des prix a ensuite réuni les collaborateurs SMC et leurs clients invités à découvrir, pour certains d’entre eux, l’art contemporain.
Outre MDS, quels sont vos rapports au mécénat ?
Ils sont nombreux. Nous soutenons des structures emblématiques de Béziers à Menton. Citons, par exemple, le musée Fabre (Montpellier), l’Hôtel de Caumont (Aix-en-Provence), les concerts à la cathédrale Sainte-Réparate (Nice) ou le Festival international de piano (La Roque-d’Anthéron). Nos actions s’expriment également dans d’autres domaines, tel celui de l’insertion (La Plateforme Marseille ou la Fondation KEDGE Business School).
Avez-vous vocation à fédérer d’autres entreprises dans MDS ?
Vocation ? Pas forcément, mais les rencontres organisées dans le cadre MDS mettent en lumière l’activité du réseau, sa démarche, ses rapports avec les artistes. Elles permettent à nos invités de prendre conscience du monde de l’art contemporain, de son accessibilité et les incitent souvent à nous rejoindre. Notre engagement passe également par l’ouverture de nos agences Agora, lieux de vie et d’échange à des événements culturels et artistes locaux. A Aubagne, nous avons accompagné les festivités organisées l’occasion du 125e anniversaire de la naissance de Marcel Pagnol. Dans l’avenir, notre rapprochement avec Société Générale va nous permettre d’accroître notre présence aux côtés du monde culturel régional.
