Jaeger-LeCoultre

De l’horlogerie à la photographie, cultivant l’image en égrenant le son… Virtuosité technique, vision partagée, territoire d’expression. Entre les deux, créer des ponts. Le photographe n’incarne-t-il pas en images cette temporalité dont l’horloger est le gardien ? En 2020, cet engagement s’est traduit par la commande d’une installation-sculpture à l’artiste Zimoun. Inspirée par la nature et présentée au sein de l’exposition The Soundmaker, organisée par Jaeger-Lecoultre. Initialement annoncée à Paris ce printemps, elle est reportée à mars 2022 en France et en Europe, mais devrait être néanmoins maintenue en Corée et aux Etats-Unis. Cette signature auditive rend hommage au quotidien paisible qui anime la Manufacture suisse dedans-dehors, au cœur de la Vallée de Joux, berceau des complications horlogères depuis 175 ans. Rythme et flux, capacité à faire naître la poésie dans un environnement d’exception, expérience sensorielle transcendante à contempler et à écouter, avec pour toile de fond l’univers créatif et culturel de la Grande Maison, portée par l’incroyable héritage de ses montres à sonnerie. D’ici-là, un autre grand rendez-vous se prépare déjà dans la capitale au Musée du Jeu de Paume, lieu de convergence dont Jaeger-LeCoultre est le mécène privilégié. L’exposition Chefs-d’œuvre photographiques du MoMA. La Collection Thomas Walter, de septembre 2021 à janvier 2022, explorera les réseaux artistiques de l’Entre-deux-guerres, du Bauhaus au Paris surréaliste, en passant par Moscou et New York. C.G