Bente Skjøttgaard, Mnemiopsis leidyi no 1810, 2018.
Mêlant sculpture et céramique, Bente Skjøttgaard nous invite à une réflexion écologique où le drame se cache insidieusement derrière l’émerveillement des matières et des formes. Dans ce conte dramatique, l’objet de notre fascination est un cténophore pélagique, envahissant, prédateur et destructeur. La démarche de cette artiste danoise n’est aussi pas sans rappeler celle de Gauguin, qui envisageait ses céramiques selon une manière semblable aux processus biologiques de croissance.
Jusqu’au 26 juillet
Rue Suzanne et Georges Ramié, Vallauris
Tél. 04 93 64 41 74 – www.vallauris-golfe-juan.fr