août 2015

Van Cleef & Arpels

  • Un vent de poésie souffle à Cannes

 

 VCA 1
 La nouvelle adresse cannoise reste fidèle à une tradition de 1906, quand Van Cleef & Arpels ouvre sa première boutique place Vendôme, à Paris, imposant alors son univers poétique auprès des élégantes et des élégants.

Après l’Hôtel Majestic, la maison de joaillerie parisienne inaugure sa nouvelle adresse sur la Croisette, au numéro 17. Visite guidée.

Les trésors de haute joaillerie, joaillerie et horlogerie de Van Cleef & Arpels brillent de mille feux dans un espace d’exception à l’entrée du Gray d’Albion Cet écrin précieux profite de la lumière de la Riviera au travers de 11 vitrines où sont présentées les plus belles créations. Sur 215 m2, la boutique se bâtit autour d’harmonies de motifs et textures. Des panneaux muraux d’inspiration Art déco répondent à des branches de fleurs opalines. Dans l’intimité des salons, les visiteurs s’installent dans de confortables fauteuils, autour de tables basses. Palette poudrée, murs peints à la feuille d’or, bois, velours, marbre, soie, volumes arrondis, cloches de verre et lustres de cristal esquissent le décor idéal, celui d’un appartement privé, pour rendre l’instant inoubliable.

Seven Seas ou l’appel du grand large
L’expérience atteint son summum dans un espace plus confidentiel. Parmi les pluLa nouvelle adresse cannoise reste fidèle une tradition de 1906, quand Van Cleef & Arpels ouvre sa première boutique place Vendôme, à Paris, imposant alors son univers poétique auprès des élégantes et des élégants.s belles pièces, celles de la nouvelle collection de haute joaillerie baptisée Seven Seas nous transportent des rivages paisibles jusqu’au grand large, de l’Adriatique à la Méditerranée, de l’Atlantique à l’Océan indien. Une invitation au voyage... Ce thème permet aux artisans de travailler les courbes mais aussi les pierres aux reflets subtils comme le saphir, la perle de culture, la turquoise et le lapis-lazuli, dans un joli camaïeu de bleus.

17 La Croisette, Cannes
Tél. 04 97 06 29 90

Par Laurence Jacquet et Julie de los Rios